Femmes matures et salopes

Mammy aime tellement les copains de son petit fils. Aujourd'hui, elle a préparé une bonne sauce pour l'un d'eux qui va venir la visiter dans sa petite maison au fond des bois. Ô mammy, comme tu as de gros lolos, une grosse bouche, un gros popotin… C'est pour mieux te faire triquer mon chéri. Avec une mammy pareille, la sauce ne va pas coller. On sait qu'on va la satisfaire en l'astiquant, en léchant sa bonne sauce où en plongeant un gros bâton dans son giron. Avec elle tout est question d'attitude. Elle aime le cul depuis qu'elle est en âge de le pratiquer et cette passion ne l'a jamais quittée même si sa peau s'est ridée et que ses formes se sont arrondies. Elle aime la peau tendre de ce jeune homme et l'image qu'il lui renvoi. Il aime sa désinvolture et l'excitation qui monte en lui quand elle dévoile son corps massif. Elle a su se garder en forme la mammy et n'a aucun problème à relever la jambe ou à se mettre à quatre pattes pour livrer passage à sa pine frétillante. Il la met gentiment d'abord puis accélère la force et le mouvement à mesure qu'elle chauffe sa chaudière et se mouille. Littéralement transporté par l'expérience, à son tour, il lui fait goûter la bonne sauce blanche qu'il a en réserve dans son petit chaudron à lui. Les journées à la campagne chez mammy sont toujours exquis.



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On dit que l'âge c'est dans la tête, eh bien! Ma grand-mère confirme la règle, c'est une infâme femme à hommes et pas n'importe lesquels, à peine majeurs, plus ils sont jeunes plus, elle assouvit sa sa sexualité et la sienne est épanouie, elle ne rate jamais une occasion de raconter ses moments intimes. C'est une femme de soixante ans, blonde qui était très belle mais l'age aidant, elle a des formes généreuses mais cela ne gêne apparemment pas ses amants ardents. Aujourd'hui, elle a mis le grappin sur un gars, le mécano du garage d'à côté, mamie n'est pas du genre à traîner, ils sont vite à poil comme des vers et pendant que notre mécanicien triture les grosses mamelles encore bien conservés de mamie, tellement gros qu'elle arrive à se lécher les mamelons, elle a déjà une main posée sur son minou poilu. Après une bonne turlute qui lui a bien durci le sexe de l'étalon, échange de bons procédés obligent, il faut lubrifier madame et pour ce faire broute minou s'impose, c'est à grands coups de langues qu'il dégouliner de cyprine madame qui visiblement apprécie. Elle est prête à se faire pénétrer, les miches en l'air, c'est parti pour une bonne levrette puis retournement car elle ne dédaigne pas la dominer la situation, la sensation du de la verge qui lui percute le fond du vagin l'emmène à l'extase et pour finir son désir suprême, une bonne dose de sève dont elle se délecte…



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Cette fois c'est Adam qui fait manger la pomme à Eve. Dans l'histoire, c'était le contraire, et Ève était plutôt entreprenante... Adam sait ce qu'il veut. Après quelques pincées aux seins de sa copine, quelques contacts de la pine, le gars trouve le chemin de la fente de sa cochonne et y enfonce une queue très virile. La cochonne le reçoit stoïquement le visage un peu tordu de douleur, à quatre pattes, les seins ballants. Puis changement de programme, c'est la femme qui chevauche le gars . la femme contrôle ainsi les allez et venues, la durée et la profondeur de chaque coup de bite. Entre chaque changement de position la femme retourne à la source du plaisir et lubrifie un peu la pine qu'elle s'enfonce. C'est la partie qu'elle aime le mieux, quoique, en petite cuillère, la femme semble goûter la caresse des mains sur ses seins et la pénétration sans pression. À force de recevoir cette pine, la femme finit par avoir un orgasme et goûte aussi au jus du fruit de du mâle …



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Ce groupe de vieilles chaudasses se connaît à fond depuis bien des années. Ce soir, elle ont décidé de se faire un remake de leurs vingt ans : une grosse partouze à l'ancienne ! Pour cela, elles appellent un gigolo prêt à accepter tous leurs caprices. Ce qui n'est pas peu dire… Car il faut vous avertir que ces grosses salopes sont des vicieuses de première, surtout quand elles se retrouvent toutes ensemble un peu éméchées. Le type arrive et n'a pas le temps de comprendre où il est tombé. Sa tête se fait immédiatement enfoncer violemment dans une cramouille chaude et visqueuse, que les autres gonzesses l'obligent à lécher le plus profond possible en poussant sur son crâne. Notre gars est presque étouffé ; il se dit qu'il est tombé sur des tarées du fion, mais il ne peut pas encore s'imaginer à quel point… Ces vieilles cochonnes ont décidé de lui en faire voir de toute les couleurs car, quand elles font une orgie, c'est elles qui baisent le mec ! Et leurs godes-ceintures sont déjà sortis et prêts à l'emploi !

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